Sylvie MOTHIRON – Le psychanalyste au travail : « faire des vagues »

Cette série de « Textes de psychanalystes » a pour intention de mettre en valeur la place que peut prendre le travail dans l’analyse d’un sujet. Sylvie MOTHIRON y répond d’une manière jusque là inédite puisque c’est sur le psychanalyste qu’elle fait porter sa réflexion : 

Le psychanalyste au travail – PDF

Le dire de l’analysant « (…) c’est un autre truc » dit Lacan, que celui des dits qui résultent d’une parole pleine, saturée par le sens et vidée de ses dires, où se répètent les tours de l’insatiable demande du sujet qui parle en analyse. Revient à l’analyste par son interprétation, de se situer au centre de cette contradiction qui marque l’opération analytique, entre l’exclusion du sens et la portée des mots, que Lacan continue d’interroger à la toute fin de son enseignement.

C’est précisément de cet endroit qui résonne avec l’expérience de mon propre parcours analytique, que se pose pour moi le désir de déplier cette question. Sans nul doute, ce parcours, qui est le mien, oriente aujourd’hui ma pratique de psychanalyste qui indéniablement recourt au sens alors que l’idée même de réel l’en exclut.

Comment apparaît l’expression de l’inconscient lors d’une psychanalyse ? Elle s’accorde au mouvement de la motion pulsionnelle dont la formule cachée tente de s’articuler dans le récit de chaque analysant. Il appartient alors à l’analyste par son interprétation d’en révéler à l’occasion le sens caché, en tenant compte de cet éclairage qu’apporte Lacan à la fin de son enseignement :« l’interprétation est faite pour faire des vagues et non pour être comprise 1».

1- Saisir l’insaisissable

En 1953 dans Fonction et champ de la parole et du langage, Lacan résout l’analyse par le déchiffrage. Cette période marquée de la prégnance du symbolique, applique un essorage par le sens principalement articulé par le langage, du fait comme il l’énonce que « l’inconscient est structuré comme un langage. » Cette thèse très forte au début de son enseignement se repère également dans les modalités de l’interprétation. La dimension de la « résonance sémantique » du signifiant y prévaut, les références empruntées à la linguistique, aux figures de style littéraires telles que la métonymie ou la métaphore, permettent la révélation d’un savoir inconscient voué à délivrer le sens caché dans le symptôme. Interpréter revient à opérer sur et avec le signifiant, pour clarifier ou faire advenir un sens, l’équivoque signifiante étant elle-même pressée par ce même sens.

Dans l’Étourdit en 1972, c’est par la fonction du dire que Lacan ramène le réel dans la parole du sujet, au point d’en faire un événement de dire. Le dire qui émerge dans le discours de l’analysant témoigne alors d’une impossibilité à dire toute la vérité, à dire le vrai du réel et par conséquent, atteste d’une vérité qui ne peut s’énoncer que menteuse. Entre le dire et les dits de l’analysant se dessine un espace, un écart, un intervalle, que le poète, écrivain et calligraphe François Cheng, qui travailla sur la poésie chinoise avec Jacques Lacan dans les années 1970, appelle le vide médian. Lacan portera à cette notion un intérêt tout particulier, y repérant « une parole qui se saisit aussi bien dans ses effets de sens que dans ses effets de trou ». Il localisera en cet espace, un lieu particulier où circule entre les interstices des mots, l’insaisissable du sujet. Soit, ce qui persiste à ne pas se dire, qui ne cesse pas de ne pas s’écrire, ou ne s’écrit qu’à « s’attraper de la lettre qui enserre le réel », et ne se gagne que par l’intervention de l’analyste, qui peut permettre à l’analysant de s’éveiller à son propre dire.

Par conséquent, si la psychanalyse s’intéresse au sens, c’est en tant qu’il échappe, car précisément, c’est à cet endroit que quelque chose de l’ordre d’un réel peut se saisir.

2- Du sens au son – Surprise !

C’est au-delà de l’équivoque qui nourrit le sens, que l’analyste va orienter son tir et faire sourdre la sonorité d’un signifiant qu’il choisit de faire résonner, hors sens, tel un Witz2, qui par effet de surprise peut produire le réel d’un effet de sens.

L’intervention de l’analyste s’attrape ici, dans l’effet d’un dire, qui porte au-delà de la parole, à condition de le saisir, ce dire, non pas par l’imaginaire ou le symbolique, mais plutôt par le réel. Le travail de l’analyste consiste donc à ajuster sa posture afin d’accueillir, mais aussi de susciter autre chose que le sens par l’interprétation. Celle-ci n’est pas théorique, ni suggestive, ni impérative nous dit Lacan, mais elle est équivoque : comme le signifiant elle ouvre à plusieurs significations. Il s’agit donc, pour l’analyste de se faire caisse de résonance, mais aussi point d’obstacle afin de renvoyer au sujet l’écho de son dire dans le réel. De viser précisément ce qu’il s’agit d’atteindre par le maniement du son, car « dans ce qui est dit, il y a le sonore, et que ce sonore doit consoner avec ce qu’il en est de l’inconscient. 3 ».

En se jouant de l’équivoque signifiante pour en déjouer le sens, et faire qu’un sens advienne dans le réel, l’analyste choisit de surprendre l’analysant, de le déranger de la routine du blabla où parfois il ronronne voire, s’endort. Comme le dit Jacques-Alain Miller dans la préface du Conciliabule d’Angers, l’analyste se fait ici « surpreneur de réel », faisant du réel sa boussole pour s’orienter dans sa pratique. Dans son intervention qui fait de son interprétation un acte, il vise « l’Un du sujet », entendons qu’il prend précisément pour cible, ce qui reste oublié derrière ce qui se dit dans ce qui s’entend, afin qu’ex-iste ce qui, derrière ce qui se dit, reste bien trop souvent, trop longtemps, oublié.

En ouverture de son Séminaire Les Écrits techniques de Freud, Lacan initie déjà cette voie de la surprise, en portant cette indication si précieuse pour l’analyse et essentielle pour l’analyste : « Le Maître interrompt le silence par n’importe quoi, un sarcasme, un coup de pied. C’est ainsi que procède dans la recherche du sens un maître bouddhiste, selon la technique zen. Il appartient aux élèves eux-mêmes de chercher la réponse à leurs propres questions. »4 De cette manière, l’interprétation de l’analyste se décale du sens. Elle va du sens au son, parfois même, comme pour le Maître Zen il s’agit simplement « de faire signe » et ainsi de provoquer des effets de vagues qui ne sont pas faits pour être compris. Écouter, couper, scander, interrompre le discours de l’analysant, ou laisser résonner le dire silencieux de l’analyste, autant de postures qui visent à surprendre le sujet, à le réveiller de la routine du sens. Mais aussi et surtout, à faire vibrer autrement le signifiant élu, celui qui fera mouche.

La surprise n’a d’intérêt pour Lacan que dans le cas où elle peut dénouer le sens, qui intimement emmêlé à la certitude qu’en a le sujet contribue à tisser la trame de son symptôme. Ceci peut lui permettre d’initier un nouveau nouage. La surprise provoque ainsi la rupture avec le sens, le savoir et le fantasme ouvrant de nouveaux horizons au sujet. En cela, elle confirme ce qu’en disait déjà Lacan en 1967 : « Ce que nous avons à surprendre, est quelque chose dont l’incidence originelle fut marquée comme traumatisme. »5

3- Trouvaille du sujet – Une fulgurance !

L’indication que Lacan nous livre sur le mot d’esprit nous éclaire justement sur l’esprit avec lequel il entend manier l’interprétation à la fin de son enseignement. Il s’agit pour lui de « coincer le réel », de « le ferrer ». Il interroge : « Pourquoi est-ce qu’on n’inventerait pas un signifiant nouveau ? Un signifiant par exemple, qui n’aurait comme le réel aucune espèce de sens. (…) C’est même en ça que consiste le mot d’esprit. Ça consiste à se servir d’un mot pour un autre usage que celui pour lequel il est fait, on le chiffonne un peu, c’est dans ce chiffonnage que réside son effet opératoire. » 6

À suivre Freud, la structure du mot d’esprit consiste en un Witz ou lapsus réussi, lorsque surgi de l’inconscient, il parvient à en surprendre l’auteur lui-même et à se faire authentifier par un tiers. Soutenir une telle pointe de l’esprit (Einfall), elle-même à l’origine d’un message incongru, permet, comme nous l’indique Lacan, de promouvoir l’idée de « nouveau » dans le dire. Il précise : « Un signifiant nouveau qui n’aurait aucune espèce de sens, ce serait peut-être ça qui nous ouvrirait à ce que, de mes pas patauds, j’appelle le réel. Pourquoi est-ce qu’on ne tenterait pas de formuler un signifiant qui contrairement à l’usage qu’on en fait actuellement, aurait un effet ? »7 Lacan insiste ici, sur le mot d’esprit en tant qu’il produit un effet de surprise. Sa dynamique ouvre un espace, un écart qu’il ne s’agit justement pas de saturer par le sens, mais au contraire de laisser à la libre interprétation du sujet, qui lui-même en sera étonné et surpris par l’inattendu de sa propre trouvaille. Cette découverte inaugure pour le sujet une perte qui implique pour lui l’émergence d’un nouveau savoir, qui le dérange dans ses certitudes et lui ouvre la possibilité d’écrire une nouvelle version de son histoire, un nouage inédit.

Synthétique, immédiat et fulgurant, le mot d’esprit est comparable à la vitesse de l’éclair/Blitz, ce qui conduit Lacan à le traduire par « trait d’esprit ». Il en accentue de cette manière la fulgurance langagière par la consonance entre Blitz et Witz et souligne le caractère « hors » sens, ce qui est à entendre du côté du « pas- de- sens », comme on dirait pas-de-vis, ou pas-de-quatre… « C’est le pas vidé de toute espèce de besoin. (…) Qui dans le trait d’esprit peut tout de même manifester ce qui en moi est latent de mon désir (…) et c’est quelque chose qui peut trouver écho dans l’Autre, mais pas forcément. Dans le mot d’esprit, l’important est que la dimension du pas-de-sens soit reprise, authentifiée. »8 Et Lacan dajouter que si le mot d’esprit a un sens, « c’est justement d’équivoquer », et « c’est en cela qu’il donne le modèle de la juste interprétation analytique. »

Cet exemple du mot d’esprit illustre parfaitement la définition de l’interprétation apophantique que Lacan donne dans l’Étourdit, en se référant à l’oracle : « il ne révèle ni ne cache, mais en tant qu’il fait signe ». Précisément, il s’agit d’une interprétation qui n’implique pas forcément une énonciation et dont Lacan souligne qu’elle peut basculer de l’effet de sens vers un effet de sens réel. Comme il l’indique à Nice, « il y a (…) de fortes chances que ce qu’il y a de plus opérant, c’est un dire qui n’a pas de sens. »9, et qui puisse permettre selon l’expression de Lacan, de « ferrer » un bout de réel afin qu’en surgisse un « signifiant neuf » qui émerge dans le dire du sujet.

C’est cette dynamique du double effet qui intéresse Lacan. Un sens doublé d’un pas-de sens qui fait trou dans le signifiant, dont il retrouvera le mouvement si singulier dans la poésie chinoise. Voilà pourquoi, il propose de s’inspirer de la poésie, et recommande aux analystes d’en « prendre de la graine ». Il annonce « (…) vous verrez que c’est le forçage par où un psychanalyste peut faire sonner autre chose que le sens. » Il ajoute : « Le sens, c’est ce qui résonne à l’aide du signifiant. Mais ce qui résonne, ça ne va pas loin, c’est plutôt mou. Le sens, ça tamponne. »10 Effectivement, le sens promu par la linguistique fixe les choses, il suture, il pétrifie, sidère, enferme, voire il endort, c’est probablement une des raisons pour laquelle Lacan s’éloigne de la linguistique, posant qu’« un discours est toujours endormant, sauf quand on ne le comprend pas alors, il réveille11 »

C’est avec l’écriture poétique chinoise que Lacan choisit de réveiller la pratique analytique et de fait celle des analystes. « Il n’y a que la poésie, vous ai-je dit, qui permette l’interprétation. C’est en cela que je n’arrive plus, dans ma technique, à ce qu’elle tienne. Je ne suis pas assez poète. Je ne suis pas poâte-assez.12 »

4- Quand le singulier écrase l’universel Poésie.

Lacan trouve dans la poésie chinoise une modalité d’accès au Réel, et dans l’acte poétique la matrice de l’acte analytique, qui par la suite le conduira à l’écriture du nœud borroméen. Dans son Séminaire d’un discours qui ne serait pas du semblant, il déclare : « Je me suis aperçu d’une chose, c’est que peut-être, je ne suis lacanien que parce que j’ai fait du chinois autrefois13 ».

Dans son texte Vers un signifiant nouveau, Lacan indique « être éventuellement inspiré par quelque chose de l’ordre de la poésie pour pouvoir intervenir en tant que psychanalyste ? C’est bien ce vers quoi, il faut vous tourner, parce que la linguistique est une science très mal orientée. »14 Dans ce même chapitre, il invite les psychanalystes à lire le livre de François Cheng « L’écriture poétique chinoise »15 qui vient alors de paraître, et il souligne : « à l’aide de ce qu’on appelle l’écriture poétique, vous pouvez avoir la dimension de ce que pourrait être l’interprétation analytique. » 

Il précise alors en quoi le poète réussit un « tour de force », non pas à produire du sens en valorisant l’équivoque qui peut ainsi ronronner à l’infini, mais bien au contraire, à en scier le sens. C’est-à-dire que dans le double sens que le poète produit, il ne s’agit pas, dit-il de redoubler le sens, d’en rajouter, mais plutôt de faire qu’un des deux sens de l’équivoque soit absent, qu’il fasse trou, résonne de son vide et ceci « en le remplaçant, ce sens absent, par la signification. La signification n’est pas ce qu’un vain peuple croit. C’est un mot vide. »16

C’est en cela que Lacan s’intéresse à la poésie chinoise, dans la mesure où par le vide médian ou le souffle médian comme le nomme François Cheng, c’est la résonance du vide qui se fait entendre. Et ce lieu, est également un espace de circulation ouvert entre deux opposés, deux territoires distincts, un entre-deux qu’Éric Laurent compare à « une sorte de version du littoral, soit ce qui sépare deux choses qui n’ont entre elles aucun moyen de tenir ensemble, ni aucun moyen de passer de l’une à l’autre.17 » C’est par conséquent la possibilité de « faire tenir ensemble ce qui ne tient pas ensemble, le réel et le sens (…) »18.

Au cours de leurs rencontres, J. Lacan et F. Cheng s’attacheront à préciser ce qui dans l’écriture poétique implique le vide, et comment la poésie se trouve singulièrement travaillée par lui. Dans ces innombrables entre, là où grouille la vie et se révèle le vivant. À tout instant peut surgir l’inespéré, l’inattendu, toujours neuf d’un sursaut d’où peut s’éveiller le sujet. C’est au creux de ces écarts, au royaume de l’intervalle, dans la pliure de la « vallée où poussent les âmes » selon l’expression du poète John Keats, reprise par F. Cheng, que chaque vivant peut prendre conscience de son unicité, et ainsi, trouver consistance dans ce qui de lui, se révèle hors sens et reste insaisissable. À l’occasion de la publication du livre de François Cheng, J. Lacan envoie à l’auteur ces quelques mots : « Je le dis : désormais, tout langage analytique doit être poétique »19.

Ce que Lacan attrape dans l’écriture poétique chinoise, et qui inaugure les prémices de l’écriture borroméenne, c’est le trou. Le trou qu’elle parvient à serrer, à dessiner dans l’espace sonore comme dans l’écriture, en faisant un nœud qui fait tenir ensemble l’imaginaire et le symbolique et fait nouage avec le réel. « La métaphore et la métonymie n’ont de portée pour l’interprétation qu’en tant qu’elles sont capables de faire fonction d’autre chose […], ce par quoi s’unissent étroitement le son et le sens. C’est pour autant qu’une interprétation juste éteint un symptôme que la vérité se spécifie d’être poétique »20. C’est en doublant le sens que la poésie chinoise peut produire aussi bien un effet de sens qu’un effet de trou, et qu’ainsi elle peut guider l’analyste dans le maniement de l’interprétation analytique.

Voilà ce qui fascine Lacan dans l’écriture poétique chinoise, c’est « ce qui s’élide dans la cursive, où le singulier de la main écrase l’universel »21. La langue chinoise et son écriture offrent l’opportunité de saisir ce point où le singulier de l’énonciation dérange et bouscule le particulier, fait événement de corps et fait ainsi résonner cette phrase si connue de Lacan « les pulsions, c’est l’écho dans le corps du fait qu’il y a un dire ». Les signes gardent quelque chose de la main du calligraphe qui les a tracés. Ici, s’impose la diversité infinie de l’Un, c’est l’exploit « sans espoir pour un occidenté ». C’est cette présence du sujet dans la lettre qu’évoque Lacan dans Lituraterre, qui ne vaut qu’au un par un. C’est un pari, dit-il, qui se gagne avec de l’encre et un pinceau.

Sylvie MOTHIRON

Le 06 septembre 2024.

Sylvie MOTHIRON est psychanalyste, membre de l’École de la Cause freudienne et de l’Association Mondiale de Psychanalyse. Elle exerce à Orléans. Elle est à l’initiative avec quelques-uns de la création d’un lieu et d’un dispositif nommé POP, qui permet à des sujets de rencontrer un praticien orienté par la psychanalyse lacanienne dans l’Institution publique hospitalière. POP est l’acronyme de Psychothérapies d’Orientation Psychanalytique.

1 Lacan J., « Conférences et entretiens dans des universités nord-américaines », Scilicet, n°6-7,1976, p.35.

Witz : mot d’esprit.

3 Lacan, J., Ibid, p. 41.

4 Lacan J., Le Séminaire Livre I, Les écrits techniques de Freud, (1953-1954), Le Seuil,1975, p7.

5 Lacan J., « De la psychanalyse dans ses rapports avec la réalité », Autres Écrits, Le Seuil, Paris, 2001, p.353.

6 Lacan J., Ornicar? n° 17/18, IV. Un signifiant nouveau, 17 Mai 1977, p.21.

7 Lacan J., Ibid. p 23.

8 Lacan J., Le Séminaire Livre V, Les formations de l’inconscient, Paris, Seuil,1998, p 99.

9 Lacan J., « Le phénomène lacanien », Conférence au CUM de Nice du 30 novembre 1974, Cahiers cliniques de Nice, n° 1, juin 1998, revue de l’antenne clinique de Nice, Association de la Cause freudienne.

10 Lacan J., Ornicar 17/18, chapitre II, la varité du symptôme, 19 avril 1977, p.15.

11 Lacan J., Ibid p15.

12 Lacan J., Ornicar 17/18, chapitre IV, Un signifiant nouveau, 19 avril 1977, p.22.

13 Lacan J., Le Séminaire, Livre XVIII, D’un discours qui ne serait pas du semblant, Paris, Seuil, 2007, p. 36.

14 Lacan J., Ornicar 17/18, chapitre II, la varité du symptôme, 19 avril 1977, p. 16.

15 Cheng F., L’écriture poétique chinoise, Paris, Seuil, 1977.

16 Lacan, J., Ornicar 17/18, chapitre II, la varité du symptôme, 19 avril 1977, p.15.

17 Laurent, E., « La lettre volée et le vol sur la lettre », La Cause freudienne, 43, p. 4.

18 Laurent, E., Ibid., p. 45.

19 Cheng F., L’Âne N° 48, oct.-déc. 1991, propos recueillis par Judith Miller.

20 Lacan J., Ornicar 17/18, chapitre II, la varité du symptôme, 19 avril 1977, p. 16.

21 Lacan J., « Lituraterre », Autres Écrits, Le Seuil, Paris, 2001, p. 16.

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